Un engagement concret : 80% du bénéfice va aux producteurs.
Chez Kouer, nous appliquons une politique équitable de rémunération du producteur qui se veut être à l’opposé du système actuellement pratiqué par la grande distribution. Chez nous, le premier engagement concret passe par la juste rétribution de nos partenaires.
Selon une étude de l’UFC-Que Choisir, les marges pratiquées par la grande distribution peuvent atteindre 30 % à 40 % pour des produits alimentaires artisanaux. Les producteurs, selon les cas, ne récupèrent que 20 % à 50 % du prix final
Lien de l’étude : UFC-Que Choisir
Même constat selon un rapport d’Oxfam France sur la répartition des profits dans la grande distribution. Ce rapport se concentre sur les pratiques des grandes enseignes de distribution et analyse les marges réalisées au détriment des producteurs, en particulier dans les filières agricoles et artisanales. Il montre que la grande distribution conserve une part significative des revenus, surtout dans les secteurs où les producteurs ont moins de pouvoir de négociation. Oxfam montre que les producteurs des pays en développement reçoivent souvent moins de 6 % du prix final et pour les producteurs locaux en France, cette part est souvent autour de 30 % à 40 % en fonction du produit.
Lien de l’étude : Oxfam France – Répartition des profits
Chez Kouer, les choses sont différentes: le producteur reçoit 80% du prix final sur chacune de ses ventes.
Des produits EXCLUSIVEMENT artisanaux.
Nous avons fait un choix de gouvernance simple :
Ne sont exclusivement acceptés sur notre plateforme, parmi nos vendeurs et selon la taille de l’exploitation : producteurs, artisans, abbayes, monastères, châteaux et relais, TPE et petites PME familiales.
Ainsi nous nous assurons de n’avoir AUCUN produit industriel vendu sur kouer.fr et de ne fournir uniquement que des produits artisanaux sur notre plateforme.
C’est le premier critère de sélection exigé afin de pouvoir vendre sur kouer.fr. Il vous garantit en tant que client de faire des achats de produits authentiques de qualité.
Vous pouvez découvrir l'ensemble des conditions d’entrée de nos partenaires ici (liens redirection sur nous rejoindre), afin de vous offrir une transparence totale sur nos critères de sélection de nos producteurs partenaires.
DIRECT producteur : le retour du circuit court et ses nombreux avantages.
C’est le producteur auprès duquel vous commandez qui reçoit directement votre bon de commande sur son espace vendeur.
C'est aussi lui qui prépare votre commande et la met en carton afin de l'expédier directement depuis son lieu de production grâce à notre partenaire de livraison Chronofresh. Notre transporteur collecte le colis chez le producteur selon ses jours prédéfinis et l’achemine jusqu'à chez vous.
Chez Kouer, il n’y a AUCUN intermédiaire entre le client et le producteur. Chaque produit commandé sur notre plateforme est cultivé, fabriqué, produit et transformé exclusivement par le producteur lui-même. Aucun autre tiers n’intervient dans ce circuit court en direct du producteur.
Outre le fait d'apporter une fraîcheur inégalée et une traçabilité pour chaque produit, nous espérons favoriser l’émergence d’un nouveau mode consommation en recréant un lien humain de confiance entre celui qui produit et celui qui achète. De permettre d'ajouter un visage, une histoire, une provenance géographique, un lien direct sur chaque produit unique que vous achetez.
Autre impact positif, l’agriculture locale en circuits courts favorise également la biodiversité. Elle encourage la culture de variétés locales et diversifiées mieux adaptées aux conditions climatiques du lieu, réduisant ainsi le recours aux pesticides et aux engrais chimiques.
Consommez en circuit court permet aussi de réduire DRASTIQUEMENT :
Les emballages :
En 2018, l'Union européenne estimait que 41 % des plastiques produits en Europe étaient destinés aux emballages dont une grande part concerne les produits alimentaires. Les grandes surfaces utilisent souvent des emballages en plastique pour prolonger la durée de conservation, notamment pour les produits frais et transformés, générant ainsi plus de déchets plastiques.
Les produits vendus en circuit court utilisent généralement 30 à 40 % d'emballage en moins par rapport à ceux des grandes surfaces et permettent donc une diminution significative de ce type de déchets.
Le gaspillage alimentaire :
Les circuits courts permettent une gestion plus précise des volumes produits et consommés. Les producteurs vendent directement aux consommateurs, ce qui limite les surplus inutiles et le gaspillage. Par ailleurs, la proximité permet outre de vendre des produits plus frais tout réduisant le gaspillage alimentaire de 20 à 30 %. En France, une étude a montré que les producteurs locaux vendant en circuits courts jettent 2 à 3 fois moins de produits invendus que dans les supermarchés, où des pertes sont engendrées par des délais de conservation prolongés.
En Europe, environ 20 % de la nourriture produite est perdue ou gaspillée le long de la chaîne d'approvisionnement (transport, stockage) et à cause des standards esthétiques (fruits et légumes non conformes rejetés) (selon la FAO). La grande distribution contribue largement à ce gaspillage, avec un tiers des aliments gaspillés dans les pays développés provenant des grandes surfaces.
Votre consommation énergétique :
Circuit court :
L'énergie nécessaire pour le stockage, le transport et la réfrigération est moins importante car les produits voyagent moins et sont vendus plus rapidement après la récolte. Une étude de l’ADEME (Agence de la transition écologique)estime que les circuits courts consomment jusqu'à 3 fois moins d’énergie pour le transport et la conservation des aliments.
Grande distribution :
Les grandes surfaces nécessitent des infrastructures lourdes (entrepôts réfrigérés, systèmes de transport à grande échelle) qui augmentent considérablement la consommation d’énergie et représentent 45 % de leur consommation énergétique totale.
Les émissions de CO2 liés au transport :
Selon une étude de l'ADEME (Agence de la transition écologique), un produit alimentaire vendu en grande surface parcourt en moyenne entre 2 400 km et 4 000 km lorsqu'il est importé. Cela concerne particulièrement les produits hors saison ou exotiques (comme les fruits et légumes, le poisson ou certaines viandes).
Environ 40 % des produits vendus par les grandes enseignes françaises sont issus de l'importation, ce qui inclut une partie considérable des fruits et légumes, viandes et poissons exotiques. De nombreux produits alimentaires importés parcourent des distances allant de 2 400 km à plus de 10 000 km surtout lorsqu'ils viennent de pays comme l'Espagne, le Maroc, l'Amérique du Sud ou l'Asie.
Les produits alimentaires des circuits courts proviennent généralement de la même région ou d'une zone proche, ce qui réduit la distance entre le lieu de production et le consommateur. Moins de transport signifie moins de camions, de carburants fossiles utilisés, et donc moins d’émissions de CO₂.
Circuit court :
les produits alimentaires en circuit court parcourent en moyenne entre 50 et 100 km avant d’arriver chez le consommateur.
Grande distribution :
Pour les grandes surfaces en France, les produits parcourent en moyenne selon l’ADEME (Agence de la transition écologique) 2 400 kilomètres avant d'arriver dans les rayons. Ce chiffre inclut toutes les étapes, depuis la production des matières premières jusqu'à la livraison au point de vente. Certains produits importés, comme des fruits exotiques ou denrées transformées, peuvent parcourir jusqu’à 10 000 kilomètres lorsqu’ils proviennent d’Asie, d’Amérique latine ou d’autres continents, un véritable désastre environnemental. Cette même étude insiste sur le fait que la réduction des distances dans les circuits courts permet de baisser les émissions de CO₂ de de 30 à 50 %.
Faire prospérer et participer au développement de l’agriculture française en métropole et à l’étranger.
Si la France rayonne à l'international grâce à son savoir-faire, son innovation, la qualité de ses produits et services c’est bien dans deux domaines : le luxe et la gastronomie.
Contrairement au luxe qui pèse désormais près de 5% du PIB français, le secteur alimentaire français, bien que jouissant d’une renommée universelle, ne s’exporte pas ou que très peu à l'opposé de nos chefs cuisiniers.
Le constat est sans appel, l’agriculture française ne cesse de péricliter:
-Le nombre d'agriculteurs s'est effondré avec environ 100 000 exploitations disparues en 10 ans selon la dernière enquête agricole. Sur les 2,3 millions d'exploitants que comptait la France en 1955 il en reste moins de 400 000 en 2020.
-Le faible revenu moyen mensuel (environ 1 500 euros selon l’INSEE) contraint les agriculteurs à augmenter fortement la taille de leurs exploitations pour tenter d'obtenir une meilleure rentabilité. Il en résulte une concentration des terres avec une taille moyenne par exploitation dépassant 69 hectares. Outre des conséquences dévastatrices sur l'environnement, cela provoque la disparition des petites fermes au profit d’exploitations plus grandes, mécanisées, ultra spécialisées et industrielles qui se tournent vers la grande distribution pour vendre leurs produits.
-Les exportations agricoles françaises affichent un recul total. Autrefois leader européen des exportations agricoles.
Exportations agroalimentaire : la France dégringole de la 2e à la 6e place
-40 % des produits vendus par les grandes enseignes françaises proviennent d'importations hors UE et font en moyenne 2400 km et jusqu'à 10 000 km pour arriver dans les grandes surfaces !
Ce constat devrait nous alerter et nous inciter à une profonde remise en question de notre mode de consommation et de ses conséquences.
Chez Kouer, nous avons décidé de faire bouger les lignes en nous donnant les moyens de
1-Développer en ligne un grand marché français sur Kouer.fr qui permette à chacun de faire ses courses en circuit court en direct des producteurs.
2-De stimuler les exportations en permettant la livraison de produits frais et surgelés dans les pays limitrophes et de produits secs dans toute l'Union européenne.
Notre concours annuel; “Aradeg Kouer”, le concours paysan dédié aux jeunes agriculteurs.
Nous avons décidé de mettre en lumière ces hommes et ces femmes qui nous nourrissent chaque jour avec notre concours “Aradeg Kouer” dédié aux jeunes agriculteurs.
“Aradeg Kouer”, signifiant concours paysan en breton, récompense une fois par an les agriculteurs élus par le public.
L’objectif d’“Aradeg Kouer” est de favoriser l’essor de nouvelles exploitations, de susciter des vocations et de valoriser leurs travaux en faisant connaître ces jeunes agriculteurs auprès du grand public.
Quatre conditions sont nécessaires pour concourir en tant que producteurs :
*être un agriculteur installé au cours des 4 dernières années,
*être producteur ou artisan,
*avoir moins de 35 ans,
*être vendeur sur Kouer.fr.
Sur la base d’un mini-reportage présentant chaque producteur et son activité, les internautes sont invités à voter en ligne sur Kouer.fr pour élire leur candidat préféré parmi tous les agriculteurs participants.
Le producteur recevant le plus grand nombre de votes du public est élu lauréat de l’année.
Des producteurs et des produits EXCLUSIVEMENT français.
Très rares sont les marketplaces, revendeurs, magasins, épiceries ou bien encore grandes surfaces pouvant se targuer d’avoir une offre aussi large de producteurs et de produits EXCLUSIVEMENT français.
Chez Kouer, c’est le cas ! 100% de nos producteurs se situent en France. Cette localisation géographique est l’un des principaux critères exigés afin de pouvoir vendre sur Kouer.fr. De cette façon, nous nous assurons, par ailleurs, que 100% des produits présents sur notre plateforme sont d'origine France. Que ce soit des fruits et légumes, des produits de nos épiceries salées ou sucrées, nos vins ou tout autre produit vendu sur Kouer, ils sont tous cultivés, élaborés et transformés en France par nos producteurs partenaires.
Pour chacun de nos producteurs, vous pouvez consulter entre autres la totalité des ingrédients composant ses produits , leur provenance géographique, la localisation de l'exploitation sur des fiches produit personnalisées. Joignez donc le plaisir à l’action en soutenant directement l’économie locale française et privilégiez une agriculture artisanale qui participe à la souveraineté alimentaire de nos régions.
Une agriculture biologique :
Une agriculture biologique :
Selon la taille de leurs exploitations, seuls les producteurs, artisans, abbayes, monastères, châteaux et relais, TPE et petites PME familiales peuvent prétendre devenir vendeur sur Kouer.fr. Ce processus sélectif ne retient que les producteurs partenaires pratiquant une agriculture durable, débarrassée des produits industriels et sans agriculture intensive. Sur Kouer ,il n’y a pas de ferme aux mille vaches mais uniquement des exploitations artisanales à taille humaine favorisant une agriculture raisonnée.
Dans la boutique de chaque vendeur, en plus de découvrir son histoire, vous pouvez aussi en apprendre plus sur ses techniques de culture, de production mais aussi connaître la taille, la superficie de l’exploitation, le nombre d’employés, la date de début d’activité…
Nourrir une population mondiale en constante augmentation, faire face au réchauffement climatique, lutter contre la perte de la biodiversité, réduire la pollution du sol,de l'eau et de l'air…sont autant de défis à relever qui devraient nous encourager à développer une agriculture raisonnée et durable.
En plus de nos engagements initiaux, nous favorisons la sélection des producteurs soutenant :
Les émissions de CO2 liés au transport :
En 2017, l'agriculture intensive était responsable d'environ 20 % des émissions mondiales de CO2. (source Open Knowledge FAO).
En comparaison, l'agriculture raisonnée offre la possibilité de réduire drastiquement ces chiffres grâce à des pratiques plus durables. Elle a une efficacité de production notable par unité de surface et par unité d’intrants (rendements d’une parcelle agricole). (source Open Knowledge FAO)
L'agriculture biologique repose sur des modes de production plus durables générant en moyenne 30 % à 50 % moins de gaz à effet de serre par hectare que l’agriculture conventionnelle.
Une agriculture saisonnière :
La consommation de produits de saison, favorisée dans les circuits courts, peut réduire l'empreinte carbone alimentaire jusqu'à 80 % par rapport à des produits hors saison cultivés sous serre ou importés sur de longues distances. Par exemple, des fraises produites localement en saison émettent environ 150 g de CO₂ par kg, tandis que des fraises importées hors saison peuvent émettre plus de 2,5 kg de CO₂ par kg.
L’agriculture durable a aussi pour effets bénéfiques de :
Réduire l'utilisation de pesticides :
En adoptant des pratiques d'agriculture raisonnée, on peut réduire de manière significative l'utilisation des pesticides. Par exemple, un modèle mathématique utilisé pour simuler des pratiques agricoles a montré qu'il était possible de réduire l'indice de fréquence de traitement phytosanitaire de 9 % tout en augmentant la production de 1 % et les marges de 5 %.
Vie Publique
D’abaisser la pollution de l'eau :
les pratiques d'agriculture raisonnée contribuent à la préservation de la qualité de l'eau en limitant le lessivage des nitrates et autres produits chimiques. Cela est particulièrement important dans les zones où l'agriculture intensive a été responsable d'une dégradation de la qualité des ressources en eau.
Ministry of Agriculture Website
Maitriser les érosion des sols :
L'agriculture intensive provoque une érosion accrue des sols, tandis que des pratiques raisonnées aident à conserver la structure des sols et leur fertilité, limitant ainsi l'impact environnemental.
HAL